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 [Caramon] Le boureau furtif

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Dr House
Bébé Murloc
Bébé Murloc
Dr House


Messages : 14
Date d'inscription : 20/07/2009

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MessageSujet: [Caramon] Le boureau furtif   [Caramon] Le boureau furtif Icon_minitimeSam 1 Aoû - 20:50

Oyez oyez écoutez voici l’histoire de Caramon le bourreau furtif, l’équarrisseur de l’ombre…Le petit Caramon naquit dans une famille aisée. Son père, paladin de lordaeron, bien que pratiquement toujours absent l’aimait, tout comme ça mère et sa sœur. C’était un gamin jovial doublé d’un bon mangeur qui aimait rire et faire des bêtises. Il vécut les quinze premières années de sa vie paisiblement s’instruisant entre deux campagne de son père et apprenant le maniement des armes avec ce dernier. L’histoire que vous allez entendre se passe trois jours avant le seizième anniversaire du petit et son choix quand a sa future formation.

Caramon était dans le cabinet de son père malgré l’interdiction formelle qu’avait émis ce dernier. Il était debout devant une armoire vitrée qui contenait des trésors ramener de diverses campagnes. Le petit Caramon était fasciné par ce que son père accomplissait, bien qu’il savait pertinemment qu’il ne suivrait pas la même voie. En effet, il n’était pas aussi fort et endurant que les apprentis paladins, mais compensait ces manques par une agilité et un sens de la réflexion très aiguisé. Cédant à ce qui serait sûrement l’in de ces derniers caprices d’enfants, il saisit une épée accroché au mur et s’amusa à mouliner dans le vide devant lui. Dans trois jours il aurait seize ans et entrerait au SI:7 pour suivre sa formation d’espion. Il avait été sélectionné lors de la dernière fête du solstice et, comme sa sœur Saya poursuivrait la voie de la lumière, son père ne s’y était en rien opposé.

Le jeu du Garçon fut soudain interrompus par un bruit très désagréable à ces oreilles. La porte d’entrée claqua d’une façon particulière annonçant la venue de son père. I était ravis de le revoir après huit mois d’absence, mais si son paternel le trouvait dans son cabinet, il le mettrait en pièce avant de l’embrasser. Il remis l’épée à sa place et s’apprêta à sortir quand des pas lourds résonnèrent dans l’escalier. Pourquoi montait-il tout de suite… Pas le temps de réfléchir, Caramon se jeta sous le bureau en chêne massif et retins sa respiration. Caramon vit deux énormes bottes de plaque dans son champ de vision. Son père posa quelque chose d lourd sur le bureau et recula la chaise pour s’asseoir. Le bout de ces bottes ornée de pointes d’acier s’approchait dangereusement et risquait d’empaler le garçon cacher sous le bureau. Au même moment la voie de sa mère retenti dans l’escalier: Caramon remercia sa mère en silence. Son père venait de sortir du bureau. Il lâcha un bruyant soupir et sorti de sa cachette. Sur le bureau trônait un coffrer d’ébène financement ouvragé. Piqué par la curiosité, Caramon l’ouvrit et fut émerveillé. Dans un écrin de velours bleu était posé une dague à l’aspect étrange. Trente centimètres de la pointe au bout de la poignée, cette dernière était en vrai argent recouvert de cuir noir qui permettait de la tenir sans dérapé. Le bout du manche était un rubis gros comme un œil sculpté pour prendre l’apparence d’un crâne. La lame était dans une matière indéfinissable, noir comme la nuit. Sur son tranchant était écris quelque chose d’indéchiffrable pour Caramon en argent.

Le garçon ne put résister, il approcha sa main et posa son doigt sur la poignée… et y resta collé. Il avait beau essayer de se dégager, c’était comme si le métal avait fondu autour de son doigt. Son œil droit commença à palpiter douloureusement le métal devint brûlant, puis glacé comme la mort. Caramon ne put réfréner un hurlement de douleur. Une onde de choc se propagea à partir du rubis et le décolla de l’arme pour le projeter par la porte resté ouvert. Il heurta le mur dans un grand bruit et poussa un autre hurlement. Son œil venait d’éclater. Il se passait quelque chose de très mauvais, il le sentait mais il n’aurait sut dire quoi et il sombra dans l’inconscient.

Quand il se réveilla deux heures plus tard, un prêtre était penché au dessus de lui et l’examinait. Il chuchota quelque chose à sa mère qui lâcha un petit soupir de soulagement et il revint au dessus de l’adolescent. Le prêtre se mit à psalmodier. Presque instantanément, le cerveau de Caramon se mit à protester, il avait l’impression qu’il allait fondre tellement cessait douloureux. Il grogna et, voulant se protéger, se mit en position fœtal sur le dos. Le prêtre trop absorber par sa prière ne vit pas le mouvement d’une vitesse ahurissante arriver. Les genoux du garçon remontèrent d’un coté et sa tête de l’autre pour se mettre en boule. Malheureusement, le prêtre était entre les deux. La tête de Caramon heurta sa temps et les deux genoux la mâchoire du coté opposé. Sous la pression la mâchoire du prêtre céda et la formule s’arrêta par un gargouille incompréhensible. Le pauvre homme s’effondra sur le parquet à coté du lit et la douleur s’arrêta.

Caramon avait sauté hors du lit et s’étai précipité vers le prêtre, il n’avait pas voulu lui faire de mal, la douleur était tel qu’il n’avait pas réagit sur le coup. Il posa sa main sur le prêtre pour l’allonger sur le lit quand il senti une décharge dans son bras. De l’en e brûlante se déversait depuis le corps du prêtre qui souffrait inconscient par le bras de Caramon jusqu’à son œil et son estomac. C’était incompréhensible mais il préférait garder cela pour lui, sûr que cela lui vaudrait des ennuis s’il en parlait. Le prêtre fut soigné par son apprenti, Saya et il décréta que l’action du garçon n’était qu’un spasme dut au trauma causé par son œil. Il prescrit un traitement pour ce dernier et retourna chez lui.

Le garçon passa une nuit fort étrange. Il n’avait pas faim, fait exceptionnel pour lui et son sommeil fut peuplé de rêves étranges: Caramon était assis seul dans le noir quand une créature étrange apparut devant lui. Plus grande qu’un humain avec des cornes et des ailes membraneuses, il se présenta comme Mal’ganis, seigneur de l’effroi. Il prétendit que le poignard qu’il avait manipuler lui avait volé la moitié de son âme l’ayant remplacer par des pouvoirs démoniaques et que s’il manipulait se poignard il gagnerait en puissance. Le prix à payer était d’obéir au démon. Caramon se réveilla en sursaut et en nage. Il restait encore deux jours avant qu’il parte pour le SI:7 et qu’il devienne quelque un d’autre, se débarrassant par la même occasion de se rêve.

Les deux jours passèrent et l’expérience qu’avait vécu le garçon avec le prêtre. Cependant, dès qu’il n’avait rien à faire, ces pensés étaient obsédé par le poignard. Il ne mangea rien pendant ces deux jours, se sentant étrangement repus. Sa mère mis cela sur le compte du stress et prépara son départ. Le jours de son seizième anniversaire, il eut droit à de grandes embrassades et la montre à gousset de son arrière grand père. Puis il pénétra au SI:7 pour être formé. Pendant trois jours il ne mangea rien se contentant d’observer le poignard qu’il avait pris avant de partir. Il n’osait cependant pas le toucher de peur de devoir servir le dénommé Mal’ganis. Il avait retourner le problème dans tous les sens, les yeux étaient le miroir de l’âme et il lui en manquait un… et cette décharge d’énergie… Le troisième jours, son estomac protesta violement. Il essaya bien de manger un peut de pain mais il n’arrivait plus à avaler de nourriture. Seul l’eau et l’alcool passaient.

Tiraillé par la faim, il devenait de plus en plus irritable et à l’entraînement, il faillit mettre ne pièce son coéquipier. Ce dernier était entaillé sévèrement à la jambe et au bras. Caramon lui tendit une main charitable et se dernier le saisit avant de se cabrer de douleur. Le courant repassa et Caramon n’eut pas envies de relâcher son étreinte se sentant de plus en plus repus. Le flux vers son œil s’arrêta et il enleva la pièce de cuir qui le couvrait pour comprendre. Son coéquipier convulsait dans la cour. Leur chef leur donna l’après midi et Caramon se précipita devant une glace et réprima un cris de stupeur. Un œil était réapparut dans l’orbite vide mais un œil étrange. Il était composé d’une pupille blanche et tout le reste était d’un noir d’encre. Cependant sa vision n’en fut pas altérer.

Le jeune homme pris des nouvelles de son coéquipier. Les nerfs de ce dernier avaient été saturer par des flux de douleurs. Le cerveau de Caramon se mit à tourner à plein régime. Ce qui passait des corps au sien était de la douleur pur. C’était particulièrement désagréable pour les autres apparemment, mais cela lui faisait du bien. Cela remplaçait même sa nourriture et avait reconstitué son œil. Il fut dégoûté et en même temps fasciné. Il allait vivre en infligeant des douleurs aux autres et il ne savait pas quel effet cela aurait sur lui-même.

Pendant un mis, ces cheveux devinrent de plus en plus gris tandis que son visage se ridait et que son corps se musclait plus rapidement que la normale. Il avait finit par se résigné. Il ne pourrait rien y faire. Il poursuivit sa formation pendant deux ans, obséder par l’arme sans jamais oser y toucher. Sa formation finit, il s’apprêta à,partir en mission. Sa première mission. Il devait subtiliser des documents à un gobelin qui menait apparemment un trafique d’arme naines avec la horde. Mais pendant la mission quelque chose d’étrange se passa. Un hurlement déchira les tympans de Caramon mais les autres n’entendirent rien. C’était Mal’ganis qui venait de mourir avait compris le jeune homme. Il se saisit de son poignard et observa. Il n’avait pas changé, toujours aussi glacé mais le crâne en rubis rayonnait à présent.

Caramon s’en saisit à pleine main. Il était toujours aussi glacé mais vibra légèrement. Instincivement, il approcha l’arme de son cœur et l’y planta. L’arme pénétra le sternum sans problème et se mit à chauffer. L’homme le retira. Il n’y avait pas la moindre égratignure sur son torse, mais les paroles gravé sur la lame s’étaient gorgé de sang et se transformèrent en autre chose:

Ta douleur est ma force c’est pourquoi tu va souffrir.

Caramon écarquilla les yeux et tout devint clair.

Le fléau ne tarda pas à se répandre sur les terres et fort de sa nouvelle puissance débridé, il massacra gaiement tous les serviteurs du roi liche qu’il croisait avec ces compagnons. Sur sa demande, la lame traversait la chaire sans dégât mais provoquait une douleur insoutenable. Il se servait alors de sa main gauche pour l’absorber et achevait son adversaire avec l’arme redevenu tangible. Le fait d’avoir débridé l’arme par l’absence de Mal’ganis eut cependant quelques effets secondaires. Sa peau devint pale voir cadavérique et l’éxès de douleur passant dans le bras de l’espion l’avait transformé. Ces ongles s’étaient transformer en griffe de près de cinq centimètres noir comme la lame et tout aussi tranchante pour agripper les corps. Son œil quand à lui permettait de voir les flux de douleurs chez le gens sous la forme d’une brume violacé et translucide.

La vue de son fils défiguré choqua la mère de C aramon à tel point qu’elle en mourut sur le coups et son père désira l’abattre. Il ne lui avait pas donné la vie pour qu’il la sacrifie aux forces obscures. Il se battis avec son fils qui pris un plaisir sadique à le voir suffire. Cependant, a aucun moment il n’essaya de le tuer, c’était quand même son père. Il lui raconta toute l’histoire et son père se trancha la gorge se sentant responsable de ce qui était arrivé à son fils.


Caramon continue sa vie en prenant un malin plaisir à faire souffrir ces adversaires avant de les tuer comme un chat joue avec sa proie. Si vous avez peur de souffrir, il n’est pas bon être son ennemis.

(La flemme de faire plus)
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[Caramon] Le boureau furtif
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