[Dr House] Ou l'histoire d'un bâtard

Bébé Murloc Messages : 14 Date d'inscription : 20/07/2009

Chapitre I: La ou tout commença.

Coria s’extirpa lentement de son sommeil paisible. Son dernier client était partie en laissant l’argent sur la table de chevet et elle ne s’en plaignait pas. Sa journée était pratiquement finie et elle allait pouvoir rentrer. Elle enfila son vêtement de danseuse et s’apprêtait à descendre quand un cris attira son attention à l’extérieur. Des enfants couraient poursuivit par des hommes qui n’étaient pas la se matin. Le petit port était en feu et un énorme bateau corsaire y était amarré. Pris de panique l’elfe atteignit l’étage inférieur et eut tout juste le temps de se cacher derrière l’une des tapisserie qui ornait le mur du fond. Un humain large comme deux elfes avait passé la porte et fit volte face car un garde du village l’avait suivit et essaya de l’arrêter. Il y eut un hurlement bientôt étouffé par un gargouille immonde. Le soldat qui avait essayé d’arrêter le pirate venait de se faire trancher la gorge et se noyait dans son propre sang. Bien que dégoûté par ce spectacle, la jeune elfe était incapable de détacher son regard de cette scène. Elle était caché entré deux tapisserie et retenait sa respiration pour ne pas se faire remarquer. Dans les rues, des cris résonnaient en tous sens, couvert par des hurlements et des rires sadiques.

La montagne de muscles qui venait d’abattre le garde était affairée à extraire les gemmes précieuses de son armure avec la pointe d’un couteaux. C’était le moment pour l’elfe. Si elle voulait s’enfuir elle devait agir vite. Elle était plaqué contre le mur froid de la battisse qui était il y a encore quelques heures une maison de charme réputé. Elle se décala lentement et parvint à rejoindre l’escalier qu’elle gravit aussi rapidement qu’elle put. Elle passa dans la pièce du fond réservé aux entretiens privés, cependant dans son empressement elle renversa un vase qui alla s’écraser sur le sol ouvragé. Coria s’arrêta net pour écouter ce qui se passait. Des bottes ornées de fer empreint aient l’escalier. L’elfe alla se fourré entre deux couchettes et attendit immobile. Le corsaire passa au crible la pièce d’a coté tandis que l’elfe restait silencieuse en tremblant comme une feuille, mais, pour une obscure raison, Coria ne put retenir un couinement de peur, quand l’humain passa devant sa cachette, signant par la son arrêt de mort. Du moins, elle aurait préféré mourir car son sort ne fut pas enviable.

La silhouette fourra son énorme main ganté de cuir entre les deux couchettes et l’empoigna par la gorge pour la tenir devant lui. C’était un humain de très grande taille taillé en v et dont l’hallène aurait pus assommé un kodo. Une effluve écœurante, un mélange d’alcool bon marché, de relent d’amygdales et de chicots jaunis. Le visage de l’homme aurait put être beau si quelque un ne s’était pas servit de son faciès pour tracer une grille de morpion à l’arme blanche et dont les yeux faisaient office de cercles verts. Un menton volontaire recouvert d’un épais collier noir touffu et emmêlé qui se poursuivait en une épaisse natte sale. Le front large et les pommettes basses doublé d’un nez cassé plusieurs fois venait combler le stéréotype du marin peut fréquentable que les elfes naissaient si bien.
De son coté Coria se retrouvait impuissante. Frêle et vive comme toute les elfes, avec une longue crinière couleur paille et des yeux bleus souligné par des lèvres rouges et pulpeuses. Ces deux êtres étaient totalement opposé, la force brute contre la beauté et malheureusement pour elle, Coria ne pouvait absolument rien faire. Il n’y avait absolument aucune arme à porté.

L’homme sourit découvrant une bouche ou il manquait bien une demi douzaine de dents. L’elfe au longs cheveux blonds savait très bien qu’elle n’aurait aucune chance contre une créature de cette carrure sans arme. L’homme à la natte la jeta sur un énorme coussin bleu roi et se laissa tomber sur elle, en la tenant toujours fermement Elle se débattis et laboura son avant bras poilus avec ces ongles, lui cracha au visage et essaya de mordre mais rien n’y fit. L’homme arrache sa tenue d’un revers de poignet et eut droit à une gifle qui ne lui fit pas plus d’effet que si quelqu’un lui avait caressé la joue. Il déboucla sa ceinture et commença à baisser son pantalon… (je passe les détail c’est pas la peine tout le monde à vue ou je voulais en venir.)

Au bout d’un quart d’heure qui sembla durer un siècle pour l’elfe, l’humain retira son énorme poids du corps de sa victime et la laissa sur la couchette recroquevillé et en larme. Elle avait crié encore et encore mais personne n’était venue. Elle était la seul survivante, bien qu’elle aurait préféré mourir que de subir ça. L’humain se saisit d’un pichet de vin posé sur une table près de la porte et la vida d’un trait. Puis il se retourna vers Coria, il avait visiblement envie de remettre cela. Un élan d’espoir la saisit cependant. Sur de lui, l’homme s’agenouilla au dessus de l’elfe au cheveux blond et elle choisis ce moment pour agir. Se cabrant violement, elle envoya son pied dans l’aine de son agresseur. Ce dernier eut juste le temps de lui asséner un coup de poing avant de tomber sur le coté, plié en deux par la douleur. Le coup assomma Coria. Sa vision se troubla et elle sombra dans l’inconscient.

Elle repris conscience et ne vit pas le barbus devant elle mais un autre elfe aux cheveux auburn qui lui tombaient en cascade dans le dos. Elle n’eut pas le temps de dire mot qu’elle sombra à nouveau dans la tiède moiteur de l’inconscient.

Chapitre II: Une vie pour une autre.

Mariel vivait reclus dans une petite habitation à quelques kilomètres du village et avait été alerté par la fumée. Cependant quand il arriva il était déjà trop tard, les pirates étaient partie et la seul personne encore en vie dans les environs était Coria. Le clerc l’emmena chez lui et pris soin d’elle pendant deux jours, le temps qu’elle reprenne conscience. L’elfe se portait à merveille, physiquement du moins. Deux jours après l’attaque elle se réveilla.

Coria regardait autour d’elle complètement déboussolé et sur les nerfs. Mariel posa doucement sa main sur l’épaule de l’elfe pour la calmé mais le contacte avec un autre être vivant la fit sursauté et elle se recroquevilla contre le mur, tremblant comme une feuille.

- Essayez de vous calmer, toute cette agitation n’est pas bonne pour le bébé…

Le bébé, Coria était sous le choc. Son viole allait donc la poursuivre toute sa vie sous la forme de sa progéniture. Elle était totalement perdu et ne savait pas quoi faire. Cependant Mariel refusa de la laisser à son sort. Il resta assis sur une chaise à distance respectable jusqu a ce qu’elle se calme, lui apportant à manger mais n’essaya à aucun moment de la toucher ou de la forcer à faire quoi que se soit.

Elle avait retourner le lit dans tous les sens, mais il fallait se rendre à l’évidence, son violeur avait emmener avec lui l’un des bracelets jumeaux que sa mère lui avait offert. C’était une perte inestimable pas tant sur le plan économique qu’émotionnel . Elle tenais à ces bijoux presque autant qu’a sa vie, quoi que sa vie lui paraissait futile à présent.

Le temps passa et Coria s’habitua à la présence de Mariel pour finir par tomber éperdument amoureux de lui. La réciproque était valable aussi et le couple vécu paisiblement dans l’attente de l’enfant à venir. Mariel ayant réussit à convaincre sa belle que l’enfant ne tiendrait pas de son géniteur car il ne le connaissait pas. Cette dernière réussit à s’en persuader tant bien que mal et passa les six premiers mois sans trop de soucies goûtant la paisible tranquillité de son nouveau cadre de vie. Les deux mois suivant d’avérèrent un peut plus dure sur le plan physique car une grossesse n’était pas de tout repos.

Le jour de l’accouchement arriva et les deux elfes étaient un peut sur les nerfs. Le travail commença et Coria en vu de toute les couleurs jusqu’a ce que la tête du petit sorte. Grâce à son passé de danseuse, elle put la voire et fit un blocage. Mis à part les oreilles pointus et les cicatrices, c’était le visage de son géniteur. Le reste du travail fut étrangement rapide et Mariel en fut quelque peut déstabilisé La douleur sur le visage de Coria s’était changé en dépit. Le bébé lui-même ressenti se changement et ne pleura pas à sa naissance. Elle refusa de toucher le bébé, se contentant de lui passé autour du bras son bracelet fétiche. Puis elle se laissa dépérir. Son agonie dura trois semaines et avant de rendre son dernier soupir, elle fit promettre à Mariel qu’il enseignerait à son enfant la voie des clercs et qu’il l’empêche de devenir comme son père.

Le Prêtre accepta et depuis se jour, il voua à cet enfant une haine sans nom, le considérant comme responsable de La mort de sa bien aimé. Ils partirent sur les routes, Mariel dispensant son savoir contre un peut d’argent ou de nourriture. L’enfant était étrange, pas une seule fois il ne pleura, il commença à s’exprimer très tôt mais, n’ayant droit à aucun retour de la part de son « Maître », il se mura bientôt dans le silence.

Chapitre III: Un gamin étrange.

[i]Viridiel, ainsi nommé par sa mère s’accoutuma au silence de son maître et le suivit partout tout en obéissant au moindre ordre qu’il lui donnait. L’homme au cheveux auburn ne lui parlait presque pas mais n’avait jamais été méchant en quoi que se soit avec lui, et pour le petit c’était tout à fait normal qu’aucun contacte n’intervienne.

Age de six ans, il arriva pour la première fois à lune d’argent, la somptueuse capitale des hauts elfes. Son maître était occuper à négocier quelque chose avec un homme et comme à son habitude, Viridiel alla faire le tour des environs. Un petit groupe d’enfants de son age jouaient à se courir après et Viridiel alla les rejoindre. Cependant, l’accueil ne fut pas comme il l’espérait. Les enfants arrêtèrent de jouer et firent front devant le nouveau arrivant.

- Bonjours, je m’appel Viridiel. Je peut jouer avec vous?

Le plus large des gosses, celui qui semblait être le chef de la bande l’observa de la tête au pieds et Viridiel se senti mal à l’aise. Bien que bien bâtis, l’enfant était moins large que Viridiel qui tenais de son père. Il donna un petit coup de coude à son voisin de droite et se mit à ricaner bientôt imité par les autres.

- Alors c’est vrai, il existe bien des monstres qui tiennent de l’elfe et de l’humain. Va t’en bâtard, on ne veut pas de toi.

Le petit avait bloquer sur le mot MONSTRE et ne réagit pas quand le chef de la bande lui dit de s’en aller. Il le poussa donc et Viridiel se retrouva sur son séant sans trop savoir pourquoi . Le chef de la bande répéta son avertissement, mais Viridiel ne comprenant pas pourquoi il était rejeté ne bougea pas. La petite bande se mit à le rouer de coups. Viridiel pris le chemin de l’auberge ou son maître avait décider de s’établir pour la nuit et arriva en piteux état. La lèvre inférieur fracturé, l’œil gauche poché, et le corps totalement endoloris. Il s’attendait à se faire gronder par Maître Mariel mais se dernier le soigna brièvement et retourna à ces occupations sans un mot.

Le jeune elfe s’approcha de la glace dans la salle de bain et observa son reflet. En effet il était dissemblable des autres enfants. Ces traits étaient beaucoup moins sculpturaux, sa carrure plus imposante et intérieurement il ne savait plus ou il en était. Il s’était toujours considérer comme un elfe mais soudain son univers s’effondrait. Il n’était pas un elfe ni un humain mais un mélange des deux.

* Si les elfes me rejettent, je tenterait ma chance auprès des humain. *

Il ne le savait pas mais il n’allait pas tarder à être exhaussé. Son maître avait une affaire urgente à régler à Hurlevent et, ne pouvant le laisser ici après ce qui s’était passé la veille, il décida de l’emmener avec lui. Ils prirent donc le bateau pour se rendre à la capitale humaine.

Sa son maître lui ordonna d’attendre qu’il revienne. Non loin de la, des enfants humain jouaient avec une balle en cuir. Viridiel s’approcha doucement et essaya de s’intégrer au jeu, mais les autres s’arrêtèrent net. Ils se mirent de front devant le nouveau et le jeune garçon eut l’impression douloureuse que la scène de la semaine précédente allait se répéter. Il n’était pas loin de la vérité, sauf qu’au premier avertissement il se retira et se cala contre le mur extérieur du bâtiment ou son maître était entrée.

* Les elfes me rejettent, les humain aussi, suis-je voué a vivre seul ?… je les hais, je les hais tous… *

Il fut sorti de sa rêverie par son maître. Il aurait voulu le questionner sur ces origines sur ce qu’il allait advenir de lui mais il se heurterait à un mur et cela il n’en avait pas la force. Il garda donc le silence et se mit à lire. Tandis que dans toute les villes les enfants le considéraient comme une bête de foire, lui les maudissait et lisait des livres de magie de biologie, ou tout autre ouvrage qui lui passait sous la main en faite. Et ceci pendant deux ans.

A suivre plus bas

C'est carrément un roman lol en tout cas j'aime bien et je comprend pas qu'and tu dit que tu la bâclée lol

Bébé Murloc Messages : 14 Date d'inscription : 20/07/2009

Nan mé la cé just la trame narrative je vais éditer

Je suis très surpris par la différence de niveau grammatical et orthographique entre l'histoire elle-même et ton dernier post.

Cela dit je suis désolé mais ton histoire est très longue, je n'ai pas le courage de la lire ce soir.

Bébé Murloc Messages : 14 Date d'inscription : 20/07/2009

Suite

Chapitre IV: Perpétuer le savoir

- Viridiel, vient ici.

C’était la voie de maître Mariel qui l’appelait depuis le balcon de la chambre. Le jeune garçon ne se fit pas prier et passa le double rideau qui le séparait du balcon. C’était son huitième anniversaire et il ne doutait pas que cela avait quelque chose à voire avec la raison pour laquelle son maître l’avait convoqué.

- Tu a huit ans aujourd’hui et comme le souhaitait ta défunte mère, je vais t’inculquer tout mon savoir. Tu va être mon apprendrai et tu suivra la voie des clercs.

A l’évocation de sa mère, Viridiel passa son doigt sur le bracelet à son poignet droit, seul vestige d’une quelconque parenté. Il était froid et distant, comme les souvenirs de sa mère. Le demi elfe acquiesça pour signaler qu’il avait compris et Mariel se remis à regarder au loin sans plus s’intéresser à son futur apprentis. Viridiel retourna se coucher et le lendemain l’apprentissage commença.

Il dut d’abord apprendre à maîtriser le mana, chose peut aisé. En effet, les elfes étaient beaucoup plus sensible au flux de ce dernier que les humain. Aussi, la partie humaine de Viridiel l’entravait malgré lui et ralentis sa progression. Cependant un bout d’un mois, il réussit à maîtriser le flux. Mariel lui donna alors un oiselai avec une aile fessé et lui appris une formule de base. Il avait pour mission de soigner la pauvre créature. Étrangement, cela fut très rapide et le lendemain à l’aube le petit oustacha reprenait sa place dans le ciel.

A partir de la tout s’enchaîna très vite. Le demi elfe apprenait à une vitesse déstabilisante et il se retrouva bientôt à lire les grimoires de sorts théoriques de son maître car ce dernier n’avait plus rien à lui apprendre. Il était âgé d’a peine quarante ans qu’il bénéficiait déjà de connaissances presque équivalente à celle de son maître.

Les enfants qui s’étaient moqué de lui commençaient à dépérir chez les humains et n’étaient même pas formé chez les elfes. Sa misanthropie s’en vue quelques peut atténué en partie à cause des obligations de sa nouvelle profession. Il secondait son maître avec une efficacité stupéfiante et le taux de réussite de ce dernier fut multiplié par trois.

A coté de cela, le fléau prenait de l’ampleur et Viridiel dut se contenter de suivre son maître impuissant. En effet, ce dernier ne lui avait jamais appris à ce battre et sa palette de sort offensif était des plus réduit. Il se contenait d’arpenter le champ de bataille en priant pour protéger les uns, soigner les autres sans pouvoir vraiment influer sur le court des événements et cela, c’était frustrant.

Mariel fut blessé mortellement pendant la bataille pour le puit du soleil. Viridiel se démena pendant tune journée complète et a bout de force il dut laisser son maître mourir. Ce dernier se redressa au prix d’un effort surhumain et lui murmura à l’oreille toute son histoire. Comme il était tomber amoureux de sa mère comme elle avait été violé… Il acheva sa tirade par:

- Ne t’arrête jamais, quoi qu’il arrive continue à avancer.

Puis il déposa un baisé sur le front de son visible et mourut dans un dernier spasme. Viridiel qui ne comprenait pas ces paroles ni se dernier geste resta la aux cotés de la dépouille de son maître pendant trois jours. Puis il dut se résigner à lui offrir une sépulture et à l’abandonner. Il avait beau être froid et distant, il avait toujours été la et le demi elfe n’avait jusqu’a présent jamais été seul.

Il parcourut l’azeroth de long en large pendant quarante années de plus et il changea beaucoup d’apparence. Ces cheveux avaient atteint la longueur de ceux de son maître, son visage était orné par un épais collier noir et touffu et sa musculature c’était quelque peut développé. Une balafre lui ornait la tempe droite souvenir d’une altercation avec un ogre et il savait maintenant manier la masse et le bâton.

Chapitre V: Les reliques du passé.

- Tien regard çuila, il ressemble comme deux gouttes d’eau au patron! Aller viens on va le lui ramener.

Viridiel était assis dans la taverne d’un port en train de siroter un verre de vin quand deux humain vinrent l’accoster. L’un des compère posa un poignard sur la gorge du demi elfe et lui ordonna de la suivre. Ce dernier resta impassible et ne bougea pas d’un centimètre. Le pirate pressa un peut la lame sur la gorge de son interlocuteur et répéta son ordre. D’un mouvement, Viridiel se dégagea se saisit de sa masse et fracassa le genoux de l’homme qui le menaçait et d’une parole il jeta un sort qui effraya son compère. Il sorti en courant et en hurlant comme un porc qu’on égorge.

Cependant, sa paix fut de courte durée. Une fois le sort dissipé, le second pirate revint accompagné de dix acolytes. Le demi elfe les suivit sur le pont d’un bateau et ils le firent mettre à genoux devant une porte ornée de trophées diverses et varié dont des têtes humaines. La porte s’ouvrit et Viridiel eut l’impression qu’on l’avait giflé avec une poêle en airain. Dans l’encadrure de la porte se trouvait un humain qui lui ressemblait étrangement. Certes il était plus large, ces oreilles étaient rondes, sa barbe était teint de gris et son visage ressemblait à une planche à pain usée, mais les similitudes étaient frappantes.

- Capitaine House, on a quelque chose pour vous.

- Ainsi donc, cette prostitué m’a pondu un gosse! Bienvenue fils!

Cette parole déclancha une réaction étrange. Le demi elfe perdit le contrôle et arracha sa masse des mains de son geôlier pour la fracasser sur le crâne de son géniteur. Il le reconnaissait comme son enfant et pourtant pendant quatre vingt ans il n’avait jamais chercher à le trouver.

- Tu n’est pas mon père…

Le corps massif tomba raide mort et Viridiel s’affala à ces cotés. Toutes ces certitudes étaient ébranlés à nouveaux et c’était loi d’être une sensation agréable. Les pirates lui tombèrent tous dessus et il ne put rien faire. On lui attacha une pierre autour du coup et on le jeta pardessus bord. En proie au doute, Viridiel faillit bien se laisser mourir.

* Ne t’arrête jamais, continue à avancer…*

Ces paroles le sortirent de sa torpeur. Il brisa la corde d’un sort et remonta tant bien que mal, les poumons en feu mais les idées étrangement claires. Il repris la route pour ce qui restait de lune d’argent et se rendit au quartier des prêtres ou il fut introniser. Il pris le pseudonyme de Docteur House pour ne jamais oublier ces origines et fit graver sur les bracelets de sa mère, « Ne t’arrête jamais »

Toute son existence avait été régit par ces trois facteurs, Docteur: Mariel son maître et amis, House: son père et l’opposé de tout ce qu’il voulait être et les bracelets sa mère: celle qui l’a vu naître, qui l’a façonner…

FIN

t'est sur que c'est fini la ^^ c'est la plus longue du serveur je crois mdr ou tu va chercher toutes c'est idée tu me surprendra toujours ^^ hâte d'être a molsheim pour vous voir sa va être cool

Bébé Murloc Messages : 14 Date d'inscription : 20/07/2009

Je suis un mec tordu se genre d'idée sa vien sa repart chez moi ^^.

C'est pas la quantité mais la qualité qui compte ^^

( Ouai cé clair hate ke tu vienne...)

Un dieu murloc pourrait il jeter un coup d'œil par ici quand il aura 10 min ?