Murloc
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Murloc

World of WarCraft - Murloc Serveur
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

 

 La Bataille des Quatre Cités

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Ryudjinn
Dieu Murloc
Dieu Murloc
Ryudjinn


Messages : 278
Date d'inscription : 04/02/2009
Age : 39
Localisation : Bois d'Amont

La Bataille des Quatre Cités Empty
MessageSujet: La Bataille des Quatre Cités   La Bataille des Quatre Cités Icon_minitimeJeu 4 Juin - 13:38

PROLOGUE

Je me nomme Syrian, et je me suis assigné pour tâche de vous relater la terrible bataille qui eut lieu en ce jour du mercredi 3 juin 2009.

Par la bataille je devrais dire les batailles, car elles furent au nombre de quatre. Mon groupe et moi-même, obéissant à un ordre qui nous fut donné par les plus hautes instances de la Horde, avions pour tâche d'éliminer successivement les quatre grands dirigeants de l'Alliance, chacun à la tête de son peuple et régnant au cœur de sa capitale.

Nos cibles étaient les suivantes :

- Varian Wrynn, Roi d'Hurlevent, un Humain farouche, accompagné du non moins terrible Généralissime Bolvar Fordragon
- Magni Barbe-de-Bronze, Roi de Forgefer, un Nain à la force prodigieuse
- Tyrande Murmevent, Grand Prêtresse de Darnassus, une Elfe de la Nuit aux pouvoirs redoutables
- Velen, Prophète de l'Exodar, un Draenei que les siens protégeaient vaillamment

Et de notre coté, pour réussir un tel exploit, nous n'étions que cinq, car les forces dirigeantes de la Horde avaient estimé qu'un commando serait plus discret et donc beaucoup plus efficace qu'une armée :

- Link, le Bouclier, un Elfe de Sang Paladin capable d'encaisser sans problème des coups d'une violence inouïe, dont la vocation était de protéger ses camarades
- Edina, le Démon, une Morte-Vivante Démoniste particulièrement attachée à ses familiers, apte à se changer elle-même en Démon
- Vanglion, le Soutien, un Mort-Vivant Prêtre qui s'était fait une spécialité de soigner ses alliés au plus fort de la bataille
- Ondoras, le Prieur, un Elfe de Sang Prêtre qui avait partagé ses pouvoirs entre l'Ombre et la Lumière, ce qui en faisait un soldat capable de soigner aussi bien que de détruire
- et enfin moi, Syrian, le Stratège, un Elfe de Sang Paladin qui avait axé son art sur le combat et qui s'était attribué comme rôle de guider son groupe au plus fort de la bataille jusqu'à la victoire finale
C’est ce petit groupe qui avait pour tâche de s’infiltrer au cœur même des lignes ennemies pour tuer les plus puissants combattants que l’Alliance avait pu compter depuis de bien longues années.


Chapitre I : l’attaque d’Hurlevent

Nous avions estimé plus sûr de commencer par celui qui serait indéniablement le plus difficile. Le Roi Varian Wrynn était un guerrier d’exception, formé par les meilleurs, entouré des plus puissants et des plus sages de ses soldats, et qui avait été nommé à la tête de l’Alliance. Mais il nous semblait plus intelligent de débuter par lui, car il était certain que notre invasion finirait par être connue, et notre projet deviné. Quitte à devoir rencontrer une résistance farouche, autant que ce soit lorsque nous affronterions un adversaire plus facile. Le Roi Varian n’avait nullement besoin que des soldats de l’Alliance viennent lui prêter main-forte. D’autant que, renseignements pris, il s’avérait qu’un de ces soldats se trouvait justement dans Hurlevent à ce moment-là. Nous ne pouvions pas repousser l’attaque pour si peu, mais il était inutile d’attirer l’attention sur nous, aussi avions-nous choisi de l’éviter.

Nous sommes donc tous partis d’Orgrimmar, avons voyagé à bord d’un zeppelin en direction du campement Grom’Gol, et de là avons galopé à travers le Bois de la Pénombre pour atteindre la majestueuse Forêt d’Elwynn. Durant le trajet j’avais clairement établi la stratégie à adopter et le rôle auquel chacun de nous devait se tenir :

- Link devait attirer l’attention de notre cible et la garder. Cela lui était facile car Link était de loin le plus imposant de nous tous, et rarement l’ennemi se concentrait sur quelqu’un d’autre, tant il semblait la cible à abattre en priorité. La résistance hors normes de Link en faisait la personne toute désignée pour encaisser les coups
- Edina devait envoyer son démon au combat une fois que Link aurait bien capté l’attention de la cible, et rester elle-même en retrait pour lancer une pléiade de sorts offensifs. Ses sorts sur la durée, en particuliers, allaient s’avérer d’une importance capitale. Nous savions qu’Edina pouvait se changer temporairement en Démon, mais cette faculté n’avait jamais été testée en combat réel, aussi nous semblait-il plus prudent qu’elle reste dans son rôle de lanceuse de sorts plutôt que de courir un risque
- Vanglion avait pour rôle de s’assurer que Link ne courait aucun danger. Ainsi, si la vie de notre Bouclier était menacée, c’était à lui de le soigner afin que le combat continue. Toute son énergie était dévouée à la protection de Link, et parfois même à celle de ses autres compagnons
- Ondoras utilisait une partie de sa puissance pour soigner ses camarades, et une autre partie pour lancer de puissants sorts à l’ennemi. Il se situait ainsi entre Edina et Vanglion, et sa polyvalence nous permettait d’appréhender différentes façon de combattre
- quant à moi, je devais frapper l’ennemi aussi fort que possible, tout en essayant de protéger Edina, Ondoras et Vanglion en cas d’attaque imprévue. Link devait se concentrer sur notre cible principale, aussi je devais éliminer moi-même toutes les cibles annexes afin de garder le groupe intact

Malheureusement, Ondoras ne put nous rejoindre immédiatement, aussi devions-nous commencer l’offensive sans lui. Fort heureusement, n’attendant pas de réponse immédiate de l’ennemi, notre groupe se suffisait à lui-même à cet instant. Nous pénétrâmes dans la cité Humaine d’Hurlevent, dont l’entrée était gardée par cinq imposantes statues à la mémoire de leurs héros. Je dois avouer que l’Alliance sait honorer ses combattants.

La cible prioritaire allait être le Généralissime Bolvar Fordragon, dont nos informations laissaient entrevoir qu’il disposait d’une force de frappe supérieure au Roi Varian. Il s’agissait donc d’attirer son attention ainsi que celle du Roi, de les éloigner un peu afin que personne ne vienne leur prêter main-forte, et de se concentrer sur le Généralissime dans un premier temps tandis que Link contenait les coups des deux hommes. Ce ne fut pas tâche facile, mais nous parvînmes tout de même à l’éliminer, avant d’appliquer toute notre puissance contre le Roi Varian, désormais seul contre nous tous.

Le Roi Varian était très résistant, mais sa frappe laissait à désirer. C’est donc sans difficulté que nous menions ce combat. Mais alors que le Roi montrait des signes évidents de faiblesse, il se produisit un fait que nous n’avions pas prévu.

Le soldat que nous avions choisis d’éviter nous avait trouvés. Notre présence était désormais connue. Et plutôt que de nous attaquer bêtement de front, il avait préféré alerter ses camarades. Alors que nous allions donner le coup fatal au Roi, quatre Humains firent irruption dans le couloir du donjon où nous nous battions. Ils nous chargèrent de suite, mais il était hors de question pour nous de lâcher notre proie si près de la fin. Nous choisîmes alors d’ignorer leurs attaques pour en finir au plus vite avec le Roi Varian. Celui-ci finit par s’effondrer, au prix de bien importantes blessures, et nous pûmes alors livrer bataille contre ces nouveaux arrivants.

Les premiers échanges de coups furent pour nous catastrophiques. Blessés, pris au dépourvu, désorganisés, nous trouvions en face de nous un groupe cohérent et qui avait eu tout le loisir de nous étudier et de préparer une stratégie pour nous vaincre. Et nous, nous ne savions même pas à qui nous avions affaire. Nous courûmes nous réfugier dans la première pièce que nous trouvions. Une bibliothèque, dans laquelle s’affairaient quelques Humains terrorisés de nous voir arriver. Afin d’éviter une tentative d’héroïsme qui aurait pu nous être fatale, ils furent tous tués de suite, et nous mîmes à profit ce court instant de répit pour soigner nos blessures tandis que des coups retentissaient contre la lourde porte que nous avions barricadée tant bien que mal. Nous échangeâmes alors nos informations sur nos assaillants. A en juger par leurs tenues et leurs attitudes, il semblait que leur groupe était constitué d’une lanceuse de sort, d’un soigneur, et de deux attaquants. La stratégie allait donc être simple : se débarrasser en vitesse de leurs attaquants en concentrant nos forces sur eux, en finir tout de suite après avec la lanceuse de sorts, et terminer avec le soigneur. Les attaques devaient bien sûr être bien coordonnées, car le plus petit désordre nous aurait à coup sûr assuré la défaite.

Lorsque la porte céda, la bataille commença. Il y avait effectivement deux attaquants, dont l’un n’hésitait pas une seconde à nous charger, tandis que l’autre nous frappait fort et s’éloignait aussi vite que possible. Indéniablement, une stratégie destinée à concentrer notre attention sur le plus résistant d’entre eux, tandis que l’autre nous attaquerait sournoisement. C’est pour cela que nous choisîmes d’attaquer en priorité celui que nous avions appelé l’Arme, puis lorsqu’il serait vaincu de nous retourner vers l’autre, dont la bravoure nous avait inspirée le nom de Valeureux. Mais nous avions mal évalué leur puissance, et le combat semblait tourner en notre défaveur, lorsqu’Edina se risqua sur quelque chose que nous avions préféré ne pas tenter : elle se changea en Démon.
Indéniablement, ce fut une véritable surprise pour nos adversaire qui, bien que blessés à la seule proximité de ce Démon, restaient près de lui tant ils étaient peu habitués à fuir. Profitant de leur surprise passagère et de la puissance des coups que donnait Edina, nous pûmes les attaquer.
Les deux puissants soldats tombèrent, au prix de lourdes blessures pour nous (que, fort heureusement, Vanglion sut soigner impeccablement). Nous nous ruâmes alors sur la lanceuse de sorts, que nous avions décidé de nommer la Prudente suite à son attitude plutôt réservée durant le combat. Elle n’opposa qu’une faible résistance, pensant probablement que nous l’épargnerions vu qu’elle ne nous avait presque pas attaqués. Mais nous avions bien trop peur pour nos vies pour penser à ce genre de choses. Lorsqu’elle fut vaincu, nous commençâmes à chercher le soigneur, que nous avions qualifié d’Invisible tant sa présence était restée discrète, en dépit du soutien incontestable qu’il apportait à ses alliés. Mais celui-ci restant introuvable, nous en arrivâmes à la conclusion qu’il avait dû préférer s’enfuir. La victoire nous était donc acquise, mais un problème de taille se posait : les forces de l’Alliance savaient ce que nous venions de faire, et il ne faudrait pas longtemps avant qu’ils comprennent que notre projet était de nous en prendre à tous les chefs de l’Alliance. Il fallait donc faire vite, profiter de leur désorganisation momentanée, avant que leur soigneur ne puisse les relever et leur permettre d’organiser une résistance sérieuse.

Mais les attaques avaient été organisées : personne parmi nous n’ignorait qu’une machine de fabrication Gnome reliait les villes d’Hurlevent et Forgefer. Le moyen idéal de passer rapidement d’une ville à l’autre sans rencontrer de résistance, et d’arriver au cœur même de la ville. Mais si ce moyen était le plus rapide pour nous, nos adversaires pouvaient faire encore mieux : à l’aide des nombreux portails que des Mages avaient ouverts un peu partout, ils pouvaient voyager instantanément d’une capitale à l’autre, tandis que nous avancions (rapidement, il faut tout de même l’avouer) vers notre prochaine destination.

Chapitre II : l’attaque de Forgefer

Comme nous l’avions escompté, nos adversaires n’avaient pas tout de suite prévu que nous nous attaquerions immédiatement à une autre ville, aussi n’étaient-ils pas encore là à notre arrivée. Mais ils devaient eux aussi avoir des agents qui les tenaient informés de nos mouvements car, immédiatement après notre arrivée à Forgefer, nous apprenions que eux aussi avaient investi la ville. La chance nous souriait toutefois : en dépit du fait qu’ils se doutaient de la raison de notre présence à Forgefer, aucun d’eux ne connaissait suffisamment la ville pour dire où se cachait le Roi (ce qui à mon sens est révélateur d’un manque flagrant de communication entre les différentes races de l’Alliance, mais passons). Mais nous, nous le savions. Et nous savions également que le Roi Magni Barbe-de-Bronze allait être à lui seul un adversaire coriace. Il nous fallait donc trouver et tuer le Roi avant que les soldats Humains ne viennent le défendre. Nous courûmes donc au plus vite à la salle du trône, oubliant toute idée de prudence et de discrétion, tuant tous ceux qui se mettaient en travers de notre route. Le périple fut pénible, car Forgefer est construite au cœur même d’une montagne, et un fleuve de lave y coule. La ville entière est donc incroyablement chaude et humide.
A notre arrivée à la salle du trône, nous fûmes soulagés de constater que seuls le Roi et ses conseillers siégeaient là. L’assaut fut bref, et organisé comme celui contre le Roi d’Hurlevent. Mais le Roi Magni était seul et moins puissant. Il mourut nettement plus vite que le Roi Varian. Soulagés de ne pas avoir encore entrevu les soldats de l’Alliance (dont nous savions pourtant la présence proche), nous sortîmes immédiatement nos Pierres de Foyer, artefacts puissants capables de téléporter leur porteur instantanément dans la ville d’où ils proviennent. Et en les utilisant, nous apparûmes immédiatement à Orgrimmar.


Dernière édition par Kyan le Jeu 4 Juin - 15:27, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://ryudjinn.deviantart.com
Ryudjinn
Dieu Murloc
Dieu Murloc
Ryudjinn


Messages : 278
Date d'inscription : 04/02/2009
Age : 39
Localisation : Bois d'Amont

La Bataille des Quatre Cités Empty
MessageSujet: Re: La Bataille des Quatre Cités   La Bataille des Quatre Cités Icon_minitimeJeu 4 Juin - 15:26

Chapitre III : l’attaque de Darnassus

Le temps nous était compté. Les soldats de l’Alliance avaient fatalement su que nous avions quitté Forgefer, et à ce moment-là ils avaient compris que nous allions nous diriger soit vers Darnassus, soit vers l’Exodar. Nous avions choisis d’attaquer Darnassus car la Grand Prêtresse Tyrande était, à en croire les dires de nos commanditaires, plus puissante que le Prophète Velen de l’Exodar. Mais nos ennemis ne pouvaient savoir vers où nous nous dirigions, aussi estimions-nous avoir un léger avantage. Le souci était que les portails des Mages auraient amené nos adversaires directement dans le Temple de la Lune, où se trouvait la Grande Prêtresse Tyrande. Là encore il fallait faire extrêmement vite. Mais nous avions un avantage supplémentaire : Ondoras avait pu nous rejoindre à Orgrimmar pour préparer avec nous l’attaque sur les deux dernières villes. Nous nous rendîmes alors jusqu’au maître des coursiers du vent, superbes wyvernes qui, d’un coup d’ailes, nous emmenèrent à l’avant-poste de Zoram’Gar sur la plage d’Orneval. La seule façon d’atteindre Darnassus (et l’Exodar aussi) consistait à embarquer sur l’un des navires en partance d’Auberdine, petite ville portuaire des Elfes de la Nuit. Nous pûmes traverser la ville sans soucis et attendîmes le bateau au bout du ponton. Durant cette attente, nos renseignements nous faisaient savoir que les soldats de l’Alliance nous attendaient à Teldrassil. Manifestement, ils avaient anticipé notre venue, et il y avait fort à parier qu’ils se tiendraient au bout du quai, prêts à nous attaquer au moment où nous étions les plus vulnérables. Contrairement à nos attentes, personne ne se tenait embusqué au port de Rut’theran. Cependant le corps inanimé du Valeureux gisait à terre un peu plus loin, sans que nous puissions nous l’expliquer. Nous pûmes donc sans difficulté investir la ville.
Darnassus est une ville réellement impressionnante, et je peux même dire superbe. De gigantesques arbres côtoient des bâtiments somptueux aux allures de temple. Les Elfes ont toujours eu ce don de faire de belles choses. Nous fonçâmes droit vers le Temple de la Lune, et commençâmes l’attaque. Les sentinelles Elfes moururent l’une après l’autre, puis ce fut le tour de la Grand Prêtresse, sans grande difficulté. Mais à peine l’avions-nous terrassée que nous eûmes la désagréable surprise de voir arriver à pleine vitesse le Valeureux et l’Arme. Il semblait que la Prudente et l’Invisible avaient préféré ne pas se joindre à la bataille cette fois-ci, mais il restait les deux plus vaillants. Le combat fut rude. Nous sortions tout juste d’une bataille contre la plus puissante des Elfes de la Nuit, et l’Alliance avait pu nous surprendre dans le dos. En dépit de sa forme de Démon, Edina fut terrassée, puis ce fut le tour de Vanglion, lesquels avaient toutefois eu le temps d’infliger de sévères dommages à nos ennemis. Fort heureusement, Link et moi-même pûmes les achever. Utilisant mes talents de Paladin et les pouvoirs de Prêtre d’Ondoras, nous fîmes revenir nos compagnons du royaume des ténèbres puis, lorsque ceux-ci furent rétabli, nous retournâmes à Auberdine, afin d’embarquer cette fois pour l’Exodar.


Chapitre IV : l’attaque de l’Exodar

A Auberdine, nous fonçâmes vers le quai où accosterait le bateau en direction de l’Île de Brume-Azur. Alors que nous attendions, nos renseignements nous laissèrent entendre que nos adversaires venaient vers nous, mais il n’en fut rien. Nous pûmes prendre le bateau sans soucis. Le problème était que maintenant, il n’y avait plus d’effet de surprise qui comptait. Nos adversaires savaient très bien où nous nous dirigions. Mais je comptais sur deux choses : premièrement, nos adversaires ignoraient probablement où se situait le Prophète Velen comme ils l’avaient ignoré pour le Roi Magni Barbe-de-Bronze. Ensuite, il existait une entrée plus discrète que l’entrée principale pour accéder à l’Exodar, et les trois grands quartiers étaient reliés par de petits couloirs, ce qui nous permettait de nous déplacer discrètement à l’intérieur de la ville. Mais alors que nous pensions à notre stratégie, le bateau arrivait sur l’Île de Brume-Azur. Et là-bas, le Valeureux et l’Arme nous attendaient. Cette fois-ci ils avaient pris les devants, et je dois dire que nous ne nous attendions pas vraiment à cette attaque. Le combat fut difficile une fois encore. Le Gangregarde d’Edina parvint à bousculer le Valeureux hors du bateau. La Démoniste put alors lui lancer ses puissants sorts d’Ombre et détruire son esprit. L’Arme se retrouva confrontée à Link et moi, qui pûmes la terrasser grâce aux soins constants que nous fournissaient nos Prêtres. Notre supériorité numérique nous permit de vaincre une fois encore. Nous galopâmes alors droit vers l’entrée Sud de l’Exodar, et commençâmes l’attaque du dernier bastion de l’Alliance. L’anxiété commençait à me saisir. Nous touchions au but, ça allait bientôt en être fini. Et il faut admettre que les très hauts plafonds et les riches décorations de l’Exodar contribuaient à la crainte qui commençait à s’emparer de moi. Cette fois-ci, seule Edina savait où trouver notre cible, et elle nous guida droit vers le Prophète Velen. Aucune trace du Valeureux ou de l’Arme où que ce soit, mais en revanche nombre de gardes Draenei veillaient sur Velen. Nous nous ruâmes à l’assaut, et le Prophète fut très rapidement terrassé, ainsi que ses gardes. Notre mission était alors finie. Les quatre grands chefs de l’Alliance étaient morts, et nous pouvions rentrer chez nous.

EPILOGUE

Alors que nous tournions les talons, une fois encore l’Arme et le Valeureux nous rejoignirent et la bataille commença. Notre mission était accomplie, il ne s’agissait plus désormais que de défendre nos vies. Usant de nos dernières forces, nous décidions d’oublier toute prudence et toute réserve. Ce dernier combat devait être le plus farouche. Edina se changea immédiatement en Démon, et sa seule présence brûlait nos adversaires. Link et moi frappions aussi fort que nous le pouvions. Vanglion et Ondoras déchaînèrent leurs sorts d’Ombre afin d’en finir le plus rapidement possible. Et en un rien de temps, les soldats de l’Alliance furent vaincus. Usant une dernière fois de nos Pierres de Foyer, nous pûmes rentrer chez nous et goûter un repos bien mérité. Ces batailles, que l’Alliance n’oublierait pas de sitôt, allaient aussi marquer durablement nos esprits. Et pour nous remercier de nos efforts, les chefs de la Horde décidèrent de nous offrir à tous une de leurs plus belles montures, exceptionnellement rares : un ours noir de guerre.

FIN

Je tiens à remercier tous mes vaillants camarades pour la discipline et la force dont ils ont fait preuve durant nos combats, qui auraient pourtant eu de quoi les décourager. Je remercie spécialement Edina, qui m’a assisté pour la rédaction de ce compte-rendu de bataille. Et tout particulièrement, je remercie et je félicite nos adversaires, Hurric l’Invisible, Kissy la Prudente, Boubib le Valeureux et Hakkai l’Arme, pour l’exceptionnel courage dont ils ont fait preuve et pour leur fair-play, qui m’ont fait passer une des soirées les plus agréables sur WoW que j’ai pu avoir.
Revenir en haut Aller en bas
http://ryudjinn.deviantart.com
Link
Dieu Murloc
Dieu Murloc
Link


Messages : 75
Date d'inscription : 03/02/2009
Age : 33

La Bataille des Quatre Cités Empty
MessageSujet: Re: La Bataille des Quatre Cités   La Bataille des Quatre Cités Icon_minitimeJeu 4 Juin - 17:09

Une bataille inoubliable !!
Et la venu des alliances a donné du piments a notre mission
Heureusement qu'on a pu l'accomplir, et un grand bravo a tout le monde, En particulier aux alliances qui nous ont permis de voir de belles batailles

Bravo et Merci a tous !!
Revenir en haut Aller en bas
http://murloc.tonwow.com
Contenu sponsorisé





La Bataille des Quatre Cités Empty
MessageSujet: Re: La Bataille des Quatre Cités   La Bataille des Quatre Cités Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
La Bataille des Quatre Cités
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Murloc :: Les Murlocs :: Vos histoires-
Sauter vers: